1- s’attaquer aux causes, pas aux conséquences !

Rappel :


… mais de moins en moins pour les besoins humains. Alors nous luttons pour les  retraites, les salaires, les services publics : éducation, justice, santé, hôpitaux…

 

Dans les discours médiatiques courants on entend souvent à propos des dépenses publiques :
–          La France vit au-dessus de ses moyens
–          Il y a trop de fonctionnaires
–          Nous dépensons plus que nos états voisins
–          Il faut se serrer la ceinture
–          L’excès de dépenses laissera un fardeau pour les générations futures
–          Il faudra faire des économies
–          Etc…

De plus ces dernières années les solutions politiques semblent s’orienter vers la réduction des dépenses :
–          Le pacte dit “de responsabilité” qui prévoit 50 milliards supplémentaires de réduction des dépenses publiques
–          Baisse de l’impôt sur le revenu : le taux marginal supérieur 65 % en 1982…  40 % en 2007
–          Suppression impôt de Bourse
–          Crédit impôt recherche et compétitivité
–          Etc…

Ce qui revient à soumettre l’idée que si nous sommes en difficulté c’est bien parce que nous avons trop dépensé durant ces dernières années, mais …    A-t-on trop dépensé ?

2 réflexions sur “ 1- s’attaquer aux causes, pas aux conséquences ! ”

  1. je fais connaissance avec ton site. Bravo. Ton travail nécessite vraiment qu’on prenne le temps de le lire en détail.
    J’ai une question sur ton introduction pour quelles raisons utiliser le terme de « Puissants »? Qu’englobe t’il?
    Très cordialement
    Richard

    1. merci pour votre commentaire,
      le terme puissant désigne l’oligarchie financière… mais puisqu’il est mieux de donner des noms : Goldman Sachs, Blackrock, BNP, ou les 85 multimilliardaires qui ont une fortune équivalente à celle de la moitié la plus pauvre de l’humanité, ou les 90 personnes environs qui possèdent la moitié des droits de vote dans le CAC 40 … il est question d’une véritable classe sociale comme l’ont démontré les travaux des sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot.

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